L’imagerie Électro-photonique c’est quoi ?
Cette technique de mesure a été mise au point au milieu des années 1990 par le Pr. Korotkov et son équipe au sein de l’université de St. Petersburg. La caméra Electro-photonique EPC fonctionne selon le principe « GDV » (Gaz Discharge Visualisation).
Ce système de mesure est reconnu à travers le monde comme l’un des moyens les plus fiables pour évaluer le statut fonctionnel des organes ainsi que l'état de l'homéostasie du corps (processus par lequel l'organisme maintient ses valeurs de fonctionnement interne en équilibre).
Il permet également de mesurer en quelques secondes ( moins d'une minute ) l'état de stress et d'anxiété d'une personne.
Les logiciels et programmes de la dernière génération permettent en mois de 2 minutes de faire un état des lieux précis sur le patient.
L'instantanéité et la reproductibilité des résultats obtenus en font un outil d'une exceptionnelle efficacité. Utilisé largement dans le milieu sportif de haut niveau, il permet d'optimiser sa forme et de se maintenir dans un état de santé optimal.
La notion d’énergie utilisée dans les programmes Bio-Well
est basée sur sa définition classique
– Énergie, (du Grec “Energeia” – action, activité), est une mesure générale quantitative du mouvement et des interactions de tous types de matière.
– Dans la nature, l’énergie n’émerge pas du néant et ne disparaît pas, elle se transforme simplement d’une forme à une autre. Le concept d’énergie connecte tous les phénomènes de la nature.
– La Nature n’existe qu’en tant que système ouvert qui échange en permanence de l’énergie et des informations avec son environnement. L’organisme humain est un système ouvert connecté à la Terre, au Soleil et à l’Univers.
– La Masse est une forme d’énergie condensée créée pendant le processus de développement qui se transforme à nouveau en énergie après la mort.
Selon l’état des connaissances actuelles, le principal réservoir d’énergie libre dans les processus biologiques est l’excitation des électrons des systèmes moléculaires complexes. Quand un travail physique ou mental est effectué, les électrons qui sont distribués dans les structures des protéines, se déplacent au sein de leur espace et provoquent le processus de phosphorylation oxydative.
Une partie de l’excitation des électrons est utilisée pour le maintien des ressources d’énergie actuelles dans l’organisme. Une autre partie peut aussi être réservée pour le futur. L’excitation des électrons dans des systèmes moléculaires complexes est le réservoir principal de l’énergie libre dans les processus biologiques.
Le principal “fluide actif” est l’eau et la source d’énergie est le soleil.
En d’autres mots, la notion de «Transfert d’énergie» caractéristique des idées de la médecine orientale, peut être associée au transport des électrons à l’état excité au travers des complexes moléculaires de protéine.
Chaque corps humain possède de l’énergie et cette énergie peut se transformer d’un état à un autre. Le corps humain possède d‘énormes ressources d’énergie qui peuvent être utilisées lors d’activités physiques, émotionnelles ou mentales. Nous obtenons cette énergie de la nourriture, de l’eau ou de la lumière. Ce sont les principales ressources nécessaires à la vie.
La vie biologique dépend de l’utilisation qu’elle fait de l’énergie des photons du soleil. Cette énergie est convertie en énergie de l’électron par la photosynthèse des plantes. Au travers d’une série de transformations dans les chaînes complexes des molécules albuminoïdes, cette énergie lumineuse est transformée en énergie corporelle. Par conséquent, la vie biologique dépend de l’énergie de la lumière, et les composés organiques servent de substance à la transformation de cette énergie. Les ingrédients de base à toute transformation sont l’eau et l’air.
Selon la physique classique, l’énergie de tout système est en perpétuelle transformation et peut prendre n’importe quelle valeur. Selon la théorie quantique, l’énergie des microparticules, dont les mouvements ont lieu dans un espace réduit (par exemple, les électrons dans les atomes), prend une série de valeurs discrètes. Les atomes irradient de l’énergie électromagnétique sous la forme de particules discrètes : les quantums d’énergie ou photons.
Avec Bio-Well, nous évaluons l’énergie des photons émise par le sujet.
Bio-Well mesure indirectement la densité des électrons dans les systèmes et organes humains ainsi que le caractère des courants d’électrons excités. Ces densités d’électrons sont la base de l’énergie physiologique. Nous pouvons donc dire que Bio-Well permet de mesurer l’énergie de réserve potentielle du corps.
L’intercommunication au sein de l’organisme ainsi que la communication avec son environnement a lieu à l’échelle des photons et des électrons. Cela serait une des bases de la régulation quantique du système d’homéostasie.
C’est un processus dynamique qui change à chaque fraction de seconde. Toute image prise avec Bio-Well peut changer à l’instant suivant selon la stabilité du fonctionnement de l’organisme. Bio-Well s’inscrit une compréhension du monde comme processus énergétique dynamique en perpétuelle évolution.
L'OMS et la prise en compte de la dimension énergétique
L’OMS, en 2018, a intégré dans le nouveau catalogue international des maladies (CIM), les blocages énergétiques comme cause possible de pathologies.
La CIM est la base de l’identification des tendances et des statistiques en matière de santé dans le monde entier et constitue la norme internationale de classification diagnostique pour la déclaration des maladies et de l’état de santé à toutes fins cliniques et de recherche. La CIM définit l’univers statistique des maladies, troubles, blessures et autres affections connexes d’une manière globale et hiérarchique, de sorte qu’elle permet de :
– Stocker l’information sur la santé facilement et facilement pour l’utiliser et l’analyser afin de prendre des décisions fondées sur des données probantes.
– Partager et comparer l’information sur la santé.
– Analyser et comparer les données sur la santé au fil du temps
Le 18 juin 201 donc, l’OMS a publié une nouvelle version de la CIM (CIM 11) pour permettre à ses états membres de préparer sa mise en œuvre, y compris la traduction de la CIM en langues nationales. La CIM 11 a été présentée à la 144ème session du conseil exécutif et fut présentée à la 74e assemblée mondiale de la santé en mai 2019.
Les états membres de l’OMS commenceront à l’utiliser à partir du 1er janvier 2022.
Ce chapitre fait référence aux troubles et aux schémas envisagés par la médecine traditionnelle chinoise. Il examine les conditions harmonisées de la MTC des classifications chinoise, japonaise et coréenne. Pour une liste étendue des conditions de la MTC, il convient de se référer à la classification internationale de la médecine traditionnelle (ICTM).
Les résultats peuvent inclure, entre autres, la symptomatologie ou la constitution du patient. Symptomatologie : comme ci-dessus.
Constitution : les caractéristiques d’un individu, y compris les caractéristiques structurelles et fonctionnelles, le tempérament, la capacité de s’adapter aux changements environnementaux ou la vulnérabilité à divers problèmes de santé.
L’inclusion du chapitre 26 dans la CIM 11 représente une étape historique dans la considération des autorités sanitaires envers la médecine naturelle, l’admission de l’existence de l’énergie vitale et de ses perturbations comme causes de maladies.
Donc depuis ce mois de janvier 2022, il est possible qu’une approche préventive telle que la technologie biophotonique puisse s’intègrer dans cette nouvelle vision de la santé intégrative qui prend en compte les différents niveaux de l’être humain, dont sa dimension énergétique.